Pleure pas petite sirène
Me revoici sur la blogosphère après cette interruption, je ne vous cache pas que la semaine a été éprouvante ; je vous adresse un très grand merci pour tous vos messages si chaleureux qui m'ont beaucoup touchée, et mon mari également (c'est son papa qui nous a quittés). Ce triste évènement est survenu le jour de l'anniversaire de ma fille aînée, ça tombait vraiment très mal, et cela a rajouté encore à la pénibilité du moment. Elle vient d'avoir 18 ans, alors parce que nous n'avons pas pu les fêter dignement le jour même, je décide de lui dédier ce message ; La chanson qui accompagne les images a une résonance particulière pour moi, puis qu'elle évoque sa naissance, très tôt le matin, le 19 janvier 1991... Quant à la création, il s'agit d'une des pièces qui ont été réalisées au cours du dernier week end de stage, je n'ai pas encore reçu la photo de ses "copines" (CELIA, SOPHIE, MURIEL c'est un message ^^ !)
Découvrez Francis Cabrel!
Pleure pas petite sirène,
La ville dort encore,
Ton histoire commence à peine.
Pleure pas petite sirène,
Le jour attend dehors,
Dans les brumes des fontaines.
Ce matin est si clair,
Ce silence est si doux,
Des paroles d'hommes flottent dans l'air,
Tout le monde a rendez-vous.
La nuit est passée toute entière,
A creuser sur nos joues.
Tu déchires tout d'un trait de lumière,
Et c'est la vie tout à coup...
La vie tout à coup.
Pleure pas petite sirène,
La ville dort encore,
Ton histoire commence à peine.
Pleure pas petite sirène,
Le jour attend dehors,
Dans les brumes des fontaines.
Ça se voit que tu viens de chez les anges
T'es belle comme tout.
Ça se voit que nos manières te dérangent,
Et ces lumières partout.
Tout ces fantômes qui te touchent,
Ces mains qui te secouent,
Cette bouffée d'air froid dans ta bouche
C'est la vie tout à coup...
La vie tout à coup.
Pleure pas petite sirène,
La ville dort encore,
Ton histoire commence à peine.
Pleure pas petite sirène,
Le jour attend dehors,
Dans les brumes des fontaines.
Voilà que tu viens comme une reine,
Juste à la pointe du jour,
Avec dans son écho de porcelaine,
Ton appel au secours.
Comme un signal pour que s'égraine,
Ce temps qui s'enfuit à son tour,
D'abord les heures, les jours, les semaines,
Et puis les années d'amour...
Les années d'amour.
Pleure pas petite sirène,
La ville dort encore,
Ton histoire commence à peine.
Pleure pas petite sirène,
Le jour attend dehors,
Dans les brumes des fontaines.
Pleure pas petite sirène...
Pleure pas petite sirène,
Le jour attend dehors,
Dans les brumes des fontaines.
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