et pourtant j'avais dit que je ne ferais rien ce jour là...
c'était lundi, jour férié pour la plupart d'entre nous, et je m'étais levée bien décidée à ne rien faire du tout de la journée !
C'était compter sans ma nature, que j'ai eu beau chasser, elle a eu tôt fait de me coller aux basques * , et je n'ai pas su lui résister !
Au cours du stage de samedi, j'ai reçu Lydia, Eric et Marie- Claude, et comme souvent, les petites fées leur ont fait de l'oeil et c'est le thème qu'ils ont choisi d'apprendre à faire ; alors pour commencer, je vous montre leurs réalisations, une fois de plus vous pourrez constater qu'à part les consignes de base, le choix des couleurs et la personnalité de chacun peut donner des résultats très différents !!
*(Cette expression date du XVIIIe siècle : les basques étaient autrefois des morceaux d'étoffe en partie basse d'un pourpoint et qui descendaient en dessous
de la taille. Bien entendu, la métaphore indique bien que celui qui collait aux basques de quelqu'un le suivait de très près.
Comme quoi une expression peut survivre dans le langage bien après la disparition des éléments ayant provoqué sa naissance et son sens véritable ne plus être compris par la majorité des
gens.)
Le lutin d' Eric
La lutine de Lydia
la lutine de Marie-Claude
A noter que pour Lydia et Eric, la dernière manipulation de pâte à modeler remontait à... la maternelle !
Pour connaître la suite, un peu de patience....
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